• Elle entra dans le lycée tel un fantôme, se faufila entre les élèves présents, atteignit la salle désirée et y entra avec la classe qui était là. Personne ne semblait y prendre compte. Elle s'y assura quand même durant une trentaine de minutes. Elle en profita pour observer celle qui sera sa victime. Posée, souriante, elle ne pensait pas qu'elle se ferait tuer. Les trente minutes passées, elle ouvra sa trousse, prit ses ciseaux et d'une rapidité incroyable elle trancha la gorge de sa victime. Elle la retenu pour ne pas qu'elle tombe sur le sol et la plaça correctement sur la chaise. Comme lors de son arrivé, elle reparti tel un fantôme et disparut avant que quelqu'un ne pousse le premier cri à la découverte de ce meurtre.


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  • Lorsque Katherine sorti jusqu'à la boîte aux lettres afin de prendre son courrier, Charles en profita pour entrer dans la maison et pour se cacher sous l'escalier. Elle passa une première fois devant lui sans remarquer sa présence puis repassa et s'arrêta devant mais elle ne le remarqua pas pour autant. Au moment où elle allait passer devant lui pour la troisième fois, Katherine eut le sentiment d'être observé. Elle jeta un coup d'œil sous l'escalier... personne ! Elle fit un léger sourire, comme si elle riait d'elle-même. Elle monta à l'étage pour prendre une douche. Dans sa chambre, elle retira ses vêtements mais garda ses sous vêtements. Charles qui était dans la penderie rougit un peu mais garda en tête ce pourquoi il était là. Katherine entra dans la salle de bain, posa un premier pied dans la douche puis le deuxième. Elle s'apprêtait à ouvrir le robinet d'eau lorsqu'elle fut interrompu par la sonnerie de son téléphone. Elle décrocha, c'était sa fille. Elle lui disait que son fiancé Charles n'était pas venu la chercher au travail. Katherine répondit à sa fille qu'elle viendrait la chercher après une douche. Elle raccrocha et retourna sous la douche. Cette fois-ci, elle ouvrit le robinet et brûla sous la coulé d'acide que Charles avait mit à la place de l'eau.


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  • Caty se leva de son lit, elle regarda par la fenêtre, il faisait déjà nuit. Elle descendit trouva sa mère endormi dans son bain. Soudain une sensation étrange l'envahi, elle la poussa à commettre l'irréparable. Elle appuya sur la tête de sa mère afin que celle-ci se trouve sous l'eau. Sa mère s'affola lorsqu'elle senti ses poumons se remplir d'eau et puis d'un coup, ne bougea plus. Une fois sûr de son meurtre, Caty retira sa main et le corps mort de sa mère flotta. Comme si de rien n'était, elle prit la première serviette et s'essuya les mains. Elle sorti de la salle de bain, éteignit la lumière et avant de fermer la porte ajouta: "bonne nuit à toi, maman". Caty se dirigea vers la cuisine, elle ouvrit le tiroir sous le micro onde et prit un grand couteau. Elle alla ensuite dans la chambre de ses parents et laissa la lumière éteinte afin de ne pas réveiller son père. De sa main droite elle prit le couteau et de sa main gauche elle couvrit la bouche de son père qui se réveilla. Elle planta le couteau à plusieurs reprises dans le torse de son père et pour finir elle le planta dans le coeur. Avec les draps, elle essuya le sang qu'il y avait sur ses mains et sur le couteau. Elle sorti de la chambre, s'excusa auprès de son père pour l'avoir réveillé et referma la porte. Caty retourna dans la cuisine, elle nettoyait le couteau lorsque son frère arriva. Il lui demanda ce qu'elle faisait là et elle lui répondit qu'elle était descendu boire. En marchant vers l'escalier pour retourner se coucher, Caty et son frère décidèrent de discuter. Son frère tapa accidentellement dans le sapin et fit tomber une décoration. Lorsqu'il s'abaissa pour la ramasser, Caty attrapa une guirlande du sapin et étrangla son frère. Il tomba sur le sol et elle versa une larme qu'elle s'empressa d'effacer. Caty se réveilla affolée, regarda autour d'elle et vit par la fenêtre qu'il faisait à peine jour. Quel horrible cauchemar! Pensa-t-elle. Avec toutes ces images en tête, Caty descendit les marches pour raconter son cauchemar à ses parents. Lorsqu'elle vit le corps de son frère allongé sur le sol, elle comprit que ça n'avait pas été qu'un simple cauchemar mais la réalité.


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  • Alyssa voulait savoir ce que cela faisait de tuer quelqu'un, elle prit donc sa voisine de neuf ans pour son expérience. Alyssa emmena Elizabeth dans le bois près de chez elle. Arrivée sur les lieux, avec un grand sourire aux lèvres, elle étrangla sa victime. Une fois qu'Elizabeth fut à terre, Alyssa la poignarda au coeur. Pour avoir l'air supérieur, Alyssa lécha la lame couverte de sang et pour en finir avec sa victime elle l'égorgea. Elle cacha Elizabeth sous un tas de feuilles et rentra chez elle où elle décrira toute la scène dans son journal intime. Elle en conclu que cette expérience était plutôt très agréable, incroyable et plutôt plaisante. Avant de refermer son journal intime elle ajouta une dernière phrase: " oh mon dieu! J'ai fait quelques chose de mal.. Je crois que je devrais aller à l'église LOL".


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  • Les artistes sont toujours des personnes incomprises, des personnes prises pour des étrangers voir des fous.
    Les criminels que nous prenons pour des fous ne sont ils pas finalement des artistes ?
    Michael habite devant une école primaire. Quatre heure et demi, l'heure de la sortie pour les écoliers. Michael les observe depuis sa fenêtre, il ne les voit pas comme des jeunes enfants mais comme des futurs trophées. Après l'école, les mères ont l'habitude d'emmener leur enfant au parc d'à côté et de parler avec les autres mères. Ce jour là, Michael a réussi un exploit en kidnappant trois enfants. Il les emmena chez lui. Auprès d'eux, il se fit passer pour quelqu'un de confiant. Lorsque les enfants baissèrent leur vigilance, Michael trancha la tête des trois enfants. Il ramassa les têtes, il ouvrit son placard et les posa avec les têtes des précédents enfants. Ensuite, il descendit les corps dans son sous-sol et les rangea dans des congélateurs. Il ouvrir un autre congélateur, on où il avait mit le corps d'un enfant qu'il avait tué il y a plusieurs jours. Michael remonta au rez de chaussée et regarde par la fenêtre les mères affolées qui cherchaient leur enfant disparu. Michael commença à sucer le doigt qu'il avait coupé à l'une de ses anciennes victimes. Comme si les mères l'entendaient, il dit: " ne vous en faites pas ce sont de bons enfants."


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